Deux jours à Tallinn
Nous sommes les premiers "Moisan", ce vendredi 16 octobre 2009, à poser un pied en Estonie (- "C'est moi! - Non, c'est moi le premier!...).
Le temps est sombre et froid, une ville qui mélange l'ancien, le vétuste et le moderne: immeubles noircis à la soviétique et centre-ville médiéval.
Tout est moins cher qu'à Helsinki (et si on en profitait pour aller chez le coiffeur?), la pauvreté y est plus visible également. Tout est plus facile qu'à Helsinki, car traduit en anglais pour les touristes que nous sommes:
Nous grimpons la colline artificielle de Toompea proche de la vieille ville : point de vue depuis les belvédaires...
puis descente à travers les jardins, vue sur les remparts et l'église orthodoxe, à la recherche de la tour Kiek in de Kök ("les yeux de la cuisine") le musée des défenses de Tallin.
Visite en anglais des tunnels qui servaient de repères et reliaient les bastions entre eux pendant les invasions russes: des souterrains secrets jusqu'à 300 mètres de profondeur. Nos trois petits reporters mitraillent de photos, toutes ressemblant à cela:
On y trouve également les plus grosses araignées d'Europe, heureusement (alors qu'Antoine blêmit) effrayées par nos flashs.
Restaurant le soir sur la place principale, à côté de la plus vieille pharmacie d'Europe, attestée dans les textes dès 1422.
Nous mélangeons un peu les langues: kiitos...tänan...euh thank you.
Le lendemain, sous des trombes d'eau, nous prenons le tramway jusqu'au Kagriorg Palace, intéressant musée dans le palais des anciens tsars.
Le parc a les couleurs magnifiques de l'automne.
Inévitable détour par la plage ....Pour l'anecdote et les lecteurs de L'Equipe, à noter que les plages locales ont accueilli les épreuves de voile des JO de Moscou en 1980.
Puis, retour par le musée d'art moderne, le kumu: l'aîné dessine le paysage, le second prend des photos, tandis que le troisième dessine...c'est quoi?...une aubergine!
Le temps est sombre et froid, une ville qui mélange l'ancien, le vétuste et le moderne: immeubles noircis à la soviétique et centre-ville médiéval.
Tout est moins cher qu'à Helsinki (et si on en profitait pour aller chez le coiffeur?), la pauvreté y est plus visible également. Tout est plus facile qu'à Helsinki, car traduit en anglais pour les touristes que nous sommes:
Nous grimpons la colline artificielle de Toompea proche de la vieille ville : point de vue depuis les belvédaires...
puis descente à travers les jardins, vue sur les remparts et l'église orthodoxe, à la recherche de la tour Kiek in de Kök ("les yeux de la cuisine") le musée des défenses de Tallin.
Visite en anglais des tunnels qui servaient de repères et reliaient les bastions entre eux pendant les invasions russes: des souterrains secrets jusqu'à 300 mètres de profondeur. Nos trois petits reporters mitraillent de photos, toutes ressemblant à cela:
On y trouve également les plus grosses araignées d'Europe, heureusement (alors qu'Antoine blêmit) effrayées par nos flashs.
Restaurant le soir sur la place principale, à côté de la plus vieille pharmacie d'Europe, attestée dans les textes dès 1422.
Nous mélangeons un peu les langues: kiitos...tänan...euh thank you.
Le lendemain, sous des trombes d'eau, nous prenons le tramway jusqu'au Kagriorg Palace, intéressant musée dans le palais des anciens tsars.
Le parc a les couleurs magnifiques de l'automne.
Inévitable détour par la plage ....Pour l'anecdote et les lecteurs de L'Equipe, à noter que les plages locales ont accueilli les épreuves de voile des JO de Moscou en 1980.
Puis, retour par le musée d'art moderne, le kumu: l'aîné dessine le paysage, le second prend des photos, tandis que le troisième dessine...c'est quoi?...une aubergine!